28 décembre 2009

A l'occasion de la célébration de 'Hanouca

A l'occasion de la célébration de 'Hanouca les aumôniers de la Zone de Défense (ZD)Est,on eu une réunion de travail en présence du Rabbin M. Lewin, Aumônier en Chef Adjoint de la gendarmerie.

A l'heure du déjeuner nous avons invité le Général de Division Metais, commandant notre région de gendarmerie, le Général de Brigade Barbaud, Chef d'Etat-Major, le Lieutenant Colonel (TA) Fourmond, Chef de Corps du 40è RT de Thionville, le Lieutenant Colonel Rocolle, Chef de Corps du 4è GEH de Metz et leurs épouses.

Le Docteur Jean-Claude Michel, Président du Consistoire Israélite de la Moselle, nous fit également l'honneur d'être parmi nous.

Nous avons ensuite fait visiter à nos hôtes la grande synagogue de Metz, donné des explications sur le sens de la fête de 'Hanouca et des approfondissements de questions liées au culte sans oublier d'aborder l'ensemble des points liés aux questions propres à l'aumônerie militaire.

Un un mot, c'était une belle et bonne journée.

Aumônier Gérald Rosenfeld, Aumônier régional de la ZD Est (crédit photo : G. Rosenfeld)

15 décembre 2009

"Terrain conquis, terrain gardé"

Le 26 sept 1918 le Caporal Jacob Bous.Kela Jacques a été tué lors d'un des nombreux combats du 170e Régiment d'Infanterie de ligne (ou 170e RI).
Il repose dans la nécropole nationale de Sommepy Tahure où sa tombe a récemment été restaurée et la confession juive de se soldat français clairement affichée.

Ce travail de mémoire a été initié par le Grand Rabbin Claude Maman, aumônier des Anciens Conbatants.

" Terrain conquis,terrain gardé" telle est la devise du 170e RI qui, sous le feu des mitrailleuses ennemies, a enlevé des positions extrêmement fortifiées et a poursuivi le combat. Il participa à de très nombreuses batailles. Pendant la première Guerre Mondiale, et avant le décès du le Caporal Jacob Bous.Kela, citons, en 1913 Mulhouse (13 août) en 1914 et 1915 les campagnes de Champagne, Meuse et Artois, En 1916 la Bataille de Verdun (Eix, Douaumont le 25 février), la Bataille de la Somme, en 1917 les positions puis l'offensive de l'Aisne de de la Champagne.

10 décembre 2009

hanouka

Au sujet de ‘Hanoukah, le Talmud (Chabbath 21b) rapporte :

« Lorsque les Grecs ont pénétré dans le Temple, ils ont rendu impures toutes les huiles qui s’y trouvaient, de sorte que, lorsque les Asmonéens remportèrent la victoire, ils ne trouvèrent en ce Saint Lieu qu’une seule petite fiole d’huile revêtue du sceau du Grand Prêtre. Cette huile ne suffisait pas pour l’allumage d’un seul soir du chandelier. Or, par suite d’un miracle, l’huile suffit à alimenter ce chandelier pendant huit jours. Ces huit jours furent consacrés dans l’année suivante comme une fête perpétuelle ».
(crédit photo : image394.imageshak.us)

Souvenir de 'Hanouka 5769

Le Gal Dusquesne,
Commandant la 11 eme Brigade Parachutiste et DMD 31, en visite à l'aumônerie israélite de Balma, invité par l'Aumônier Sebbag, participe à l'allumage des lumières de la fête.

9 décembre 2009

Objets de cultes et rites


Publication :
Parmi les ouvrages ou articles publiés par les aumôniers israélites, nous revenons sur un ouvrage fort intéressant :
«La synagogue de Bordeaux» aux éditions Le Bord de l'Eau. Dans ce livre consacré aux 120 années des pratiques cultuelles des juifs de Bordeaux, Dominique Jarrassé laisse notamment la parole au Grand Rabbin Claude Maman, aumônier des Anciens Combattants et ancien Grand Rabbin de Bordeaux. Celui-ci nous donne ses explications sur les objets de culte et les rites religieux.

Dans ce livre on trouve également l'histoire de la synagogue, édifiée en 1882 grâce à la persévérance des vieilles familles juives bordelaises, pour une part originaire d'Espagne et du Portugal. Pendant la Shoa, ce haut lieu de culte fut transformé en prison pour les juifs bordelais avant leur déportation.
(en photo : Claude Maman/ la synagogue de Bordeaux -crédit photo : flickr de Yahoo)

2 décembre 2009

Etude : Ton prochain comme toi-même

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même, Je suis le Seigneur » : le judaïsme ne sépare pas la première partie du verset de sa fin qui en est la justification. Le seul fondement véritable de l’amour du prochain, c’est que l’homme porte en lui l’image de D.ieu, qui l’a créée : c’est la seule base inattaquable des droits de l’homme.

Extrait de « Le judaïsme dans la vie quotidienne », Rabbin Ernest Gugenheim, Albin Michel Paris.