

Le polytechnicien, à vrai dire, souhaitait en premier lieu partir en Guyane, «mais il y avait trop de demandes !».
Donc ce sera le commandement dans la FGI, ces enseignements de base dispensés à toute recrue qui rejoint l’armée. « Pourquoi ce régiment ? On m’a proposé le 40°RTRS; J’ai appelé des anciens : ils me l’ont recommandé, alors j’ai dit OK !»
Le jeune homme de 21 ans se destine à une profession en lien avec la biologie, ou l’économie (« en fait, je ne sais pas encore trop… »), rien à voir avec la filière en treillis, mais son cursus l’a mené quatre mois à Coëtquidan- Saint-Cyr……
Gérald Rosenfeld Aumônier Régional RTSE
Trop de liberté empêche de poser des limites, ce qui est pourtant essentiel dans la construction psychique des enfants. Cela interdit surtout le préalable incontournable qui permet de rendre opérante la transmission : la mise en place d’une relation hiérarchique. J’utilise à dessein ce mot dans sa connotation militaire qui n’est pas faite de soumission mais plutôt de confiance en celui qui sait, de certitude que celui-ci possède une connaissance des choses de la vie qui passe par l’expérience vécue et qu’il transmet à des soldats. Il y a donc un préalable à la transmission qui est le fait d’avoir vécu pour connaître, tout comme il faut une forme d’humilité et de respect de celui qui reçoit envers celui qui enseigne.
(extrait de l'article "La transmission dans le judaïsme" de l'Aumônier Général Israélite des Armée, le Grand Rabbin Haïm KORSIA, dans la revue Inflexions)
Hier, mardi 9 février 10, l'Aumônier Général de l'Armée de Terre a fait un cours de droit rabbinique au collège lycée Ozar Hatora de Créteil (région parisiènne).
Après une brève mais belle introduction du directeur, Monsieur Simon Marciano. La quarantaine d'adolescentes présentes a ainsi eu l'occasion de découvrir, mis à part l'enseignement religieux proprement dit, l'aumônerie militaire sous un jour nouveau. (Image : emblème de l'école, recommandation de l'école par le Grand Rabbin Joseph Sitruk, alors Grand Rabbin de France)
Le gouvernement de Vichy interna des Juifs, qu'il livra aux autorités nazies. Des enfants furent ainsi déportés en août 1942 à partir de ce camp.
(texte et photo extraits de Wikipédia.org)
Une présentation écrite des quatre aumôniers devrait paraître dans la gazette du Régiment.
L’aumônier Jonathan Blum, lors de sa présentation au 44 RT de Mutzig.
La capitale a subi des bombardements quotidiens. Les batteries prussiennes équipées de nouveaux canons Krupp ont d’abord atteint les rues d'Assas et des Feuillantines, le cimetière de Montparnasse et le quartier du Luxembourg. Par la suite, les quartiers du Panthéon, du Val-de-Grâce, de l’Observatoire, de Grenelle et le Quartier Latin ont été touchés. Le viaduc d'Auteuil aussi a servi de cible, tout comme les Invalides transformées en hôpital et l'hôpital de la Salpêtrière, malgré le drapeau de la Convention de Genève visible sur les toits. Les quartiers de la porte Maillot, ainsi que ceux situés entre la porte d'Orléans et la porte de Saint-Cloud et l'ensemble des quartiers de la rive gauche de la Seine ont été endommagés. Les forts de Montrouge, de Vanves et d'Issy sont quant à eux pratiquement détruits...
(Sourcedu texte : Min. Def. / image : Carte récapitulative du siège de Paris, La guerre franco-prussienne de 1870-71, http://antan.unblog.fr)
Ce fût l’occasion pour notre aumônier régional le Rabbin Judah N. Berdugo, de souligner le travail effectué chaque année par les aumôniers auprès des garnisons, sur le territoire national ou à l’étranger, ainsi que l’ambiance fraternelle qui existe entre les aumôniers des différents cultes. Lors d’un discours éloquent, il exhorta chacun des participants «à l’instar de Moïse, le berger d’Israël, à exploiter la totalité de ses capacités et cela non pour assouvir des ambitions personnelles mais pour exalter la collectivité vers la perfection et le sentiment du devoir accompli».
P. Choukroun
(crédit photo : P. Choukroun / la cérémonie)
Avec cette libération, la synagogue fût restituée à la communauté juive.
L’aumônier régional de la ZDEst chanta avec d'autres ministres officiants, René Jasner de Strasbourg et Michel Heymann de Luxembourg, des textes tirés de la liturgie juives dont les paroles exprimaient la gratitude envers les hommes et le Tout Puissant..
Cette émouvante manifestation été rehaussée par la présence de vétérans américains ayant participé à la libération de Metz, de Monsieur Dominique Gros, maire de Metz, de Monsieur Gilles Bernheim, Grand Rabbin de France et de Monsieur le général de corps d’armée Jean-Loup Chinouilh, gouverneur militaire de Metz commandant la Région Terre Nord Est et de plusieurs de nos aumôniers.
Aumônier Régional G. Rosenfeld
(crédit photos : Etienne Heymann, Le général Chinouilh durant cette cérémonie à la synagogue de Metz ; et une photo d'archive)