A la mémoire de l'Aumônier Abba Samoun

A l’initiative du Grand rabbin Haïm Korsia, Aumônier Général Israélite, une matinée d’étude a été organisée, dans le cadre de la formation continue des aumôniers, à la mémoire du Grand Rabbin Abba Samoun, récemment décédé.

L’étude portait sur un texte de Maïmonide consacré à l’aide que l’on peut et/ou que l’on doit apporter à autrui. Don en nature ou en espèce, don de la parole ou don de son attention et de son temps pour écouter.

En un mot, considérer l’autre et l’aider au mieux de nos possibilités.

Autant d’actions et d’attitudes positives que le Grand Rabbin Abba Samoun, ancien aumônier régional de la Région Terre Nord Est, savait faire siennes.

Son souvenir, associé à ce thème, était une bénédiction.

(Crédit photo : Moshé Lewin / Photo :Grand Rabbin Abba Samoun)

Portes ouvertes au Val de Grâce

Mercredi 7 décembre 2011, le célèbre Hôpital d'Instruction des Armées du Val de Grâce organise une journée Portes Ouvertes.

… tous les cultes y sont représentés par le biais des aumôneries militaires... Aux patients israélites, sur simple demande, un aumônier israélite permet de maintenir la fidélité au rite en veillant à la distribution de repas cachers, ainsi qu’à tout ce qui est nécessaire pour le respect du chabbat, des jours de fête chômés, des prières et autres prescriptions en s’appuyant sur le réseau de l’aumônerie, distribuant Actu J et proposant des cours sur un Netbook.
« Une de mes missions importantes est aussi d’assurer l’interface entre patients et personnel hospitalier pour expliquer les bonnes pratiques en matière religieuse, subordonnées aux impératifs de santé », précise Véronique Dubois, aumônier israélite du Val de Grâce et de l’hôpital Bégin à Saint-Mandé.

Parallèlement, elle assiste et oriente les familles en matière de post-hospitalisation vers des structures référentes. Mais elle est aussi présente dans des circonstances plus funestes pour assister les familles. Enfin, l’aumônerie israélite des armées participe de la réflexion des hôpitaux militaires en organisant des formations, des colloques … et toutes les problématiques modernes en matière de santé.

Hadassah Eliraz

[Extrait de, et avec l'aimable autorisation de Actu J du 7 décembre 11 ]

[ Photo AIA - archives]

Hadassah Eliraz

Un bel exemple d’énergie et de compétences

Grand rabbin de Bordeaux de 1975 à 2007, Claude Maman a notamment à son actif la création de l’unique école juive de Bordeaux. Actuellement, il a en charge Hevra Kadisha Nationale -société des dernier devoirs-. Sur le plan européen, il travaille à la préservation des cimetières juifs d’Europe.

Il est également en charge des Anciens combattants à l’Aumônerie israélite des armées où il œuvre notamment au rétablissement, dans leur identité cultuelle, des soldats israélites tombés pour la France : par méprise ou méconnaissance de leur culte, nombre d’entre eux furent inhumés avec une croix latine.

Un bel exemple d’énergie et de compétences mises bénévolement au service de la communauté et de la nation. Le Grand Rabbin Claude Maman, déjà Chevalier de la Légion d'Honneur, vient d’être promu Officier de l'Ordre National du Mérite à titre militaire.

.

Hadassah Eliraz (D'après et avec l'aimable autorisation d'Actualité Juive)

A Mutzig avec le Généralal Inspecteur

Mardi 8 novembre 2011, l'aumônier Jonathan Blum a été convié, avec les aumôniers des autres cultes, à un déjeuner présidé par le Général de Brigade Philippe Bény, Général Inspecteur dans l'armée de Terre.

Le Général Bény a abordé, avec chaque aumônier, la question du culte au sein du 44^ème Régiment de Transmissions, avant d'évoquer la place de la religion dans l'armée. Le déjeuner s'est conclu sur des discussions informelles à propos des parcours et les expériences de chacun.

(Crédit photo : Wikipedia/l'insigne du 44eme RT)

Vivre ensemble pour célébrer ensemble

Mercredi 9 novembre 2011 : Cérémonie du « 11 novembre » à la mémoire des morts pour la France lors de la guerre 1914-1918, au Séminaire Rabbinique de France à Paris.

De nombreux représentants de la République étaient présents ainsi que l’aumônerie militaire israélite, représentée par le Grand Rabbin Haïm Korsia, aumônier israélite en chef, et les aumôniers Alain Attia, Véronique Dubois, David Elfassi, Meir Israel et Joël Jonas.

Au cours des allocutions, Haïm Korsia et Joël Mergui, président des consistoires, insistèrent sur l’importance du vivre ensemble et de célébrer ensemble, sur cette terre de diversité qu’est la France.

Son Excellence Yossi Gal, ambassadeur d’Israël en France et El Mostafa Sahel, ambassadeur du Maroc en France ainsi que Antoine Bagdikian, président de l’Association Nationale des Anciens Combattants et Résistants Arméniens étaient présents.

Véronique DUBOIS

(crédit photo et photo : synagogue Vauquelin)

Remise de médaille

Le 29 septembre 2011, l'aumônier Gabriel Sebag a été décoré de la médaille de la Défense Nationale avec agrafe SSA OPEX. [Photo : Min. Def.] http://www.aumonerie-israelite-des-armees.fr

L'Aumônier Philippe Choucroun Antilles

L’aumônier retiendra notamment parmi les temps forts de sa mission aux Antilles la visite du SMA (Service Militaire Adapté). Créé en 1960 aux Antilles, ce programme forme chaque année des centaines de jeunes stagiaires dans des métiers aussi divers que les métiers du bâtiment ou le secrétariat avec des taux d’insertion à la fin des études dépassant les 80% !

L’aumônier Choucroun organisa en Guadeloupe une rencontre entre des chefs d’entreprise de la communauté juive et des officiers du SMA afin de nouer des liens entre eux et faciliter la future embauche des stagiaires.

Mais la mission ne pouvait être totalement accomplie sans une rencontre avec les communautés locales à Fort de France et Point à Pitre. C’est donc dans une ambiance chaleureuse que l’aumônier fût inviter à prendre la parole dans ces synagogues afin de partager des paroles de Thora.

[Photo : L’aumônier reçu par l’Amiral Rafaelli Commandant Supérieur des forces Armées des Antilles.] http://www.aumonerie-israelite-des-armees.fr

Les aumôniers nationaux terre se sont retrouvés pour une réunion de travail autour du Colonel Benoît BRULON, commandant le GSBdD de Vincennes : Franck Bourgeois, Claude-Charles MINO-MATOT, Nadir MEHIDI et Pierre-Yves BAUER respectivement des cultes protestant, catholique, musulman et israélite.

Diagnostic prénatal : Un homme dans l'homme

Les récentes avancées de diagnostic prénatal, toujours plus précoce, par mesure des cellules circulant dans le sang de la mère, par exemple, comme la méthode Iset de l'Inserm ou d'autres, permettent d'avoir une anticipation plus précise sans entraîner les risques de l'amniocentèse. Enfin, plutôt qu'une intervention chirurgicale qui fait peser une forme de responsabilité sur le médecin, il vaut mieux utiliser un moyen non invasif, même si nous n'avons pas assez de recul sur ces méthodes et s'il faut être très prudent sur les effets secondaires, à court ou à long terme. Je pense en particulier au RU 486.
Dès que l'embryon devient un fœtus, il n'est plus possible d'intervenir, sauf pour sauver la mère. En effet, un texte célèbre du traité Ohalot affirme : « Si une femme risque sa vie au cours d'un accouchement, on peut, s'il le faut, aller jusqu'à démembrer le fœtus dans son ventre et l'en sortir membre par membre, car la vie de la mère est prioritaire. Si la plus grande partie du bébé est sortie, on ne le touchera pas, car on ne privilégie pas une vie plutôt qu'une autre. » C'est l'exacte description, sans la mort du bébé, de l'histoire de l'enfant Foucault, remarquablement racontée et expliquée dans son livre éponyme par le professeur Claude Sureau, accoucheur de renom et membre du CCNE, pour lequel j'ai une grande et respectueuse affection. La réflexion du médecin de l'époque, dans l'urgence de l'action, fut la même que celle des sages du Talmud, même s'il sauva la mère et l'enfant au prix d'un handicap de ce dernier.
Nous avons donc vu que l'embryon peut être considéré comme « un homme dans l'homme », nous pourrions presque traduire, un homme en devenir dans un humain.
Extrait de « Bioéthique – L'homme démultiplié
"Une réflexion juive sur l'humanité à venir » p. 40-41, par le Grand Rabbin Haïm Korsia

A la synagogue de Châlons-en-Champagne

Le lundi 20 juin 2011, a eu lieu la visite de la synagogue de Châlons-en-Champagne, en présence d'une remarquable délégation militaire, issue de la 1ère Brigade Mécanisée, du 402e Régiment d'Artillerie et des différents organismes de la Place de Châlons, grâce aux efforts intensifs des O.S.A. respectifs des deux régiments susmentionnés, les Capitaine Meynard et Keller.

Cettecérémonie a débuté par un discours d'accueil et de bienvenue adressé par le président de la communauté, André Chabbat. Ensuite, l'aumônier régional de la Zone de Défense Est, Gérald Rosenfeld, a pris la parole pour introniser l'aumônier Arié Berros et saluer cette initiative unique en son genre dans cette ville.

Puis, le vice-président et le secrétaire de la communauté Georges Rouch ont fait un bref aperçu historique de la communauté juive de Châlons et de la présence juive dans cette ville. " Cette présence juive est très ancienne; … elle remonte probablement à l'époque de Rachi (11e Siècle). On a les traces d'un cimetière juif, … d'un mikvé et d'un quartier juif … En 1875, la communauté de Chalôns s’agrandit et fait construire une synagogue, elle existe toujours".

Enfin, l'aumônier Arié Berros a prononcé un discours sur le thème de la synagogue « lieu de prières, qui favorise aussi la cohésion sociale et qui a un rôle éducatif.

L'aumônier régional, Gérald Rosenfeld, a ensuite montré à l'ensemble de ladélégation militaire en expliquant comment est confectionné et utilisé un rouleau de la Tora.

La cérémonie s'est ensuite conclue par une collation offerte par la communauté de Chalôns. Lors de ce moment conviviale, le Colonel Amelinau, représentant le Général Palasset de la 1ère BM, a affirmé qu'il était honoré de l'invitation de l'aumônier Israélite et a félicité cette initiative

http://www.aumonerie-israelite-des-armees.fr/

שנה טובה - Bonne année 5772

A l'occasion de la fête de Roch Hachana, l'Aumônerie Israélite des Armées vous souhaite une bonne et douce année 5772.

שנה טובה ומתוקה

Roch Hachana : 29 et 30 septembre 11

Kippour : 8 octobre 11

Soukot : du 13 au 21 octobre 11

5772, déjà !

Le Grand Rabin Haïm Korsia, Aumônier Général, a invité ses proches partenaires, ses aumôniers adjoints et régionaux pour marquer le Nouvel An, Roch Hachana 5772.

Paroles saintes, douceurs et sonnerie du Chofar (corne de bélier), tels était le programme de cette cérémonie conviviale. (Crédit Phot : Moshé Lewin)

La prière du voyage

Deux versets attirent notre attention (Bamidbar 10 - 25, 26) : ils nous rappellent la perpétuelle présence bienfaitrice de D' "Que tes adversaires fuient de devant ta face ... reviens siéger...parmi... Israël".

Quant aux deux lettres "noun" qui encadrent notre texte, elles symbolisent le "Naassé ve Nichma / Nous ferons et nous comprendrons" proclamé par le peuple juif.

Interrompant le récit du voyage dans le désert, notre passage nous montre Moïse faisant "Tefilat Hadere'h / la prière du voyage". En effet, si même dans un contexte où les miracles ne manquent pas - la manne, l'eau, la nuée - la prière reste nécessaire, à plus forte raison lorsque "la main de D' n'est pas visible à l'oeil nu".

- La lettre "noun" est un symbole de délivrance messianique. Le prophète Isaïe s'exclame : "Nahamou Nahamou Ami" "Consolez, consolez mon peuple...".

PY Bauer

Léon KOUTCHOUK du 6eme COMA

Léon KOUTCHOUK est né à Paris le 2 janvier 1910. Il effectue son service militaire en 1930, puis répond à l’ordre de mobilisation, lors de la déclaration de guerre sert au sein du 6ème COMA (Commis et Ouvriers Militaires de l'Administration ). A Semur, le 17 juin 1940, son régiment est contraint de rendre les armes. Il est fait prisonnier de guerre et est envoyé au Frontstalag 192 à Laon puis, au stalag X-B près de Sanbostel, dans le nord-ouest de l’Allemagne, sous le n° de matricule 85782. Libéré pour raison de santé le 18 février 1942, il rejoint la résistance au sein du Bataillon Prosper de Fleurance. Dénoncé par un voisin, il est arrêté, interrogé, transféré au camp de Drancy puis déporté par le convoi N° 73 vers un camps de la mort où il fut assassiné.

L'aumônier Gabriel SEBAG et l’Aspirant Cyril HEMARDINQUER de la 11ème Brigade Parachutiste de Balma, qui a beaucoup œuvré pour la mémoire de Léon KOUTCHOUK, ont participé à la cérémonie, en l'honneur de ce combattant et résistant juif, qui c'est déroulée en début d'année à Lavardens.

Une prière bien construite

En étudiant la construction de la prière, qu'ont fixés nos Sages, nous remarquons qu'elle comporte plusieurs parties, chacune ayant un but précis. Nous en dégagerons les trois parties principales. La première démarche qui ouvre toute prière, consiste à reconnaître D. et à le louer. La reconnaissance de l'existence de D. constitue le fondement même de l'existence de la prière. Les louanges sont une sorte d'entrée en matière par laquelle, d'une certaine façon, nous montrons notre soumission, notre infériorité par rapport au "Roi du Roi des Rois" tout en mentionnant les mérites de nos Pères. Ces derniers nous serons bien utiles dans la deuxième partie de la Prière.

La deuxième partie de la prière est constituée de demandes. Nous prions pour le pardon de nos fautes, nous prions pour une bonne récolte, pour la santé de nos malades, pour la paix dans le Monde. Toute ce dont nous pouvons avoir besoin, qu'il s'agisse d'une question spirituelle ou matérielle. Nous demandons à D. d'exaucer nos prières, mais si nous voyons ou plutôt, si nous croyons voir qu'elles ne se réalisent pas, nous n'oublions jamais que, quoique fasse D., c'est toujours dans notre intérêt qu'il agit, même si nous ne comprenons pas toujours pourquoi. En définitive, nous sommes assurés de bénéficier en permanence de la bénédiction divine. PYB

Décès du Grand Rabbin Abba Samoun

Notre collègue et ami le grand rabbin Abba Samoun, un des doyens du rabbinat français, est décédé en Israël le 7 septembre à Ashdod entouré de tous ses enfants dont notre collègue Ary. Il a notamment été le Rabbin de Troyes pendant plus d'un jubilé, directeur de l'aumônerie des prisons et aumônier militaire pour l'est de la France. Extrait de la lettre de condoléances du Grand Rabbin Haïm Korsia, Aumônier général israélite des Armées:

« Il a été ainsi mon aumônier très présent lors de mon service national et mon patron lorsque je servais la région de Reims. L'affection et le respect que je lui portais étaient immenses. Mon chagrin l'est tout autant.

Il a été une figure très attachante du rabbinat par sa chaleureuse personnalité, sa disponibilité, son sens du service communautaire et son hospitalité digne du patriarche Abraham.

… La gentillesse et la disponibilité du grand rabbin Abba Samoun lui ont valu l'attachement et l'affection des fidèles de la communauté juive de Troyes qu'il a accompagnée avec dévouement et constance…

Un véritable berger s'en est allé…. »

Témoignage

Extrait du témoignage de l'Aumônier Claude Hoenel (RTNE - FFECSA) après le décès, le 7 septembre 2011, du Grand Rabbin Abba Samoun, ancien aumônier régional de la RTNE.

ADIEU MONSIEUR LE GRAND RABBIN SAMOUN

... Les souvenirs se bousculent en moi.

Que de moments heureux passés rue des Quinze Vingt à Troyes où pendant plus de 50 ans il a conduit le destin spirituel de cette communauté avec une chaleur, une amitié, une abnégation, grandes qualités parmi tant d'autres…

C'est aussi en tant qu'aumônier que je lui suis redevable. Il m'a guidé dans mes premiers pas, lui qui était un grand aumônier régional à Metz dans les années 1980. Il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour aider ses collègues...

C'était un Mensch, que sa mémoire soit bénie.

apporter un sacrifice

En hébreu, le mot Korbann (sacrifice) à la même racine que le mot Karov qui signifie "proche". On ne dit d'ailleurs pas offrir un "sacrifice" mais "approcher un sacrifice". La démarche accompagnant le sacrifice que tout juif accomplit, est donc original. Par son geste symbolique, le Juif s'approche de D. et c'est grâce à cette proximité, pendant ce moment exceptionnel que l'homme se permet de remercier, de demander ou bien d'offrir quelque chose à D.

En conservant le sens du sacrifice ainsi, il est aisé de comprendre qu'il existe de nombreuses sortes de sacrifices. Si vis-à-vis d'un homme, nous engageons un dialogue différent selon les circonstances vis à vis de D., ne devrons-nous pas "choisir nos mots", c'est dire "choisir nos sacrifices" en fonction des circonstances ?

A quoi bon parler des sacrifices puisque depuis 70 -date de la destruction du second Temple-, nous ne pouvons lui en offrir ?

Nos Sages nous ont enseignés que ce qui, actuellement, remplace les sacrifices, c'est la prière. Bien que la forme soit différente, l'intention reste la même :

Une approche intime avec D. est le point fondamental qui relie la prière au Korbann.

PYB (image : mes coloriage.com)

Echo du 14 juillet en province

Cette année la partie religieuse de la cérémonie patriotique du 14 juillet de Haguenau a eu lieu à la synagogue. En effet, cette ville du Bas-Rhin a pris pour habitude de changer de lieu de culte chaque année.

L'aumônier Jonathan BLUM a eu l'honneur de diriger l’office (voir photo) en présence des autorités civiles, militaires et religieuse de la ville. L’Aumônier Claude Hoenel était également présent [crédit photo Topimage]

http://www.aumonerie-israelite-des-armees.fr/

Visite de la Grande Synagogue par le Com BDD

Au début du mois d'août, à l'invitation de l’aumônier de Marseille Philippe Choucroun, le commandant de la GSBDD de Marseille, le colonel Renée Grisolle, à visiter la grande synagogue de Marseille qui est classée parmi les monuments historiques de la ville (cet édifice a été achevé en 1864).

A cette occasion le Consistoire qui a offert une collation. L'Aumônier Lionel Dray qui est aussi le rabbin local, a quant à lui dirigé la visite en la ponctuant de nombreux commentaires et autres explications.