4 avril 2011

Sa Majesté le Sabbat.(suite)

L'observance du Sabbat se présente sous la double face de « Chamor » et « Zakhor », « observer » et « se souvenir », termes employés en tête du quatrième commandement du Décalogue, l'un dans l'Exode, l'autre dans le Deutéronome, et qui, selon la Tradition orale, ont été prononcé ensembles par le Seigneur au Sinaï. Le premier caractérise le côté « négatif » ou passif, l'abstention de tout travail, le repos, tandis que le second se réfère à la sanctification positive, par les habits sabbatiques et les trois repas obligatoires, par le Qiddouch et la Havdala, par la prière et l' étude de la Tora, de manière à favoriser l'éclosion et l'épanouissement de « l'âme supplémentaire », Nechama Yethèra, dont le fidèle bénéficie en ce jour. Un chômage total est imposé à tous ceux de la maison israélite, y compris les animaux ; et voulu, aussi minime fût-il – frotter une allumette, écrire un mot – équivaudrait à nier l'existence de Dieu Créateur du Monde et Rédempteur, en Égypte, du peuple d'Israël, à laquelle le Sabbat porte témoignage.
Extrait de « Le judaïsme dans la vie quotidienne » p. 78 à 80, Rabbin Ernest Gugenheim

22 mars 2011

Pourim au VAL DE GRACE

Dès mardi, à l’annonce de l’organisation de Pourim, un air de fête flottait dans les couloirs du Val de Grâce. Certains patients sollicitèrent leur mémoire endolorie par une hospitalisation très longue ou l’isolement du quotidien pour se rappeler les premiers mots de la Méguila.
Puis jeudi, l’odeur des pâtisseries traditionnelles suscita la curiosité des visiteurs qui passaient par le bureau de notre aumônerie mais aussi celle du personnel assistant à la distribution des michloa’h manot. Les patients israélites, le personnel et leur famille ont ainsi reçu les traditionnels présents associés à Pourim, distribués par Véronique Dubois, aumônier militaire israélite en charge de l’établissement. Les gâteaux délicieusement nommés «oreilles d’Aman» ont été offerts par un généreux donateur désirant s’associer à ce commandement de Pourim.
Grâce au concours de l’établissement, notre aumônerie a pu acquérir des Méguilot d’ Esther (voir photo), traduites et commentées par le Grand Rabbin Claude Brahami, ancien aumônier général israélite des armées, qui fut aussi en charge de l’hôpital du Val de Grâce.
Pour l’anecdote, le personnel présent lors de la distribution des michloah manot et associé aux festivités, fut très sensible à la joie des patients…et à la douceur des friandises.
Quant à la lecture de la Méguila, elle fut assurée par l’Aumônier Arié Berros qui, avec cette joie qui sied si bien à Pourim, se rendit aussi au chevet d’un patient immobilisé hélas depuis de longs mois.
Prochain rendez-vous en commun : Pessah !

Véronique Dubois

16 mars 2011

L'Aumônerie Israélite est souvent présente au sein de la communauté juive civile renforçant ainsi l'indispensable et célèbre lien Armée-Nation.

Ainsi, le Grand Rabbin Pierre-Yves Bauer a fait une conférence à l'école Ner haTora ( Paris 19ème) sur le thème « Les habits du fidèle » ainsi qu'un cours sur « la prière au quotidien » au centre communautaire de Levallois en Région parisienne.
(Photo PY Bauer / Le parc à poussettes pendant le cours)

14 mars 2011

Le vin

POURIM : cette année le 24 février 2013
Le vin n’est pas un moyen d’échapper artificiellement à la réalité humaine. Il est un moyen, un puissant révélateur du Sod, secret enfoui en chacun de nous.

L’inconscient, parfois apparaît au grand jour ! Mais attention ! Pour boire, encore faut-il être sûr que la face cachée de notre âme, fruit de notre vécu soit honorable. Ne peut boire qui veut ! Seul le Sage sera en mesure à Pourim d’exhiber ses secrets, qui deviennent parfois de formidables sources d’enrichissement.

Le vin, véritable symbole de la sanctification ou de la dégradation humaine. N’est-ce pas sur le vin que sont prononcées les Bénédictions majeures dans la vie d’un Juif ? (Brith Mila, rachat du premier-né, mariage, Kiddouch du Chabbath et des fêtes, Kiddouch des endeuillés).
Bon Pourim !

Grand-Rabbin Bruno Fiszon (Aumônier en RTSE)
[photo : Parchemenin du livre d'Ester]

10 mars 2011

Formation à l'OTAN

En mars 2011, c’est en Belgique, "à SHAPE" (Supreme Headquarters Allied Powers Europe) que les aumôniers israélites français se sont réunis pour lancer la montée en puissance de leurs actions au sein des forces de l’OTAN.
Une formation a été l’occasion de mieux connaitre cette grande structure internationale où l’anglais est la langue commune.

2 mars 2011

Arié Berros arrive au 402 eme RA

Le nouvel aumônier Arié Berros a été installé au 402 ème Régiment d'Artillerie à Chalons en Champagne en présence de l'Aumônier Régional de la ZDEst Gérald Rosenfeld.
Après l'accueil par le Chef de Corps, le Colonel Ogier, l'O.S.A. le Capitaine Branne ainsi que les présidents de catégories, la pose pour une photo (voir photo) et un repas en commun, le travail à vite commencé.Le nouvel aumônier a ainsi visité le régiment, découvert le simulateur de missile sol air et a perçu ... le précieux paquetage (uniforme, treillis, rangers, ...).
«Je dirai que cette journée m'a donné envie d'accomplir ma mission avec beaucoup de cœur, de sérieux, d'investissement et d'écoute de l'autre» dit Arié BERROS.

24 février 2011

L’affiche rouge

Lundi 21 février à 18h30, à l’occasion du souvenir de l’exécution du Groupe Manouchian, la synagogue des Forces armées Chasseloup - Laubat accueillait la première cérémonie conjointe entre Arméniens et Juifs de France.
Antoine Bagdikian, président des Anciens Combattants et Résistants Arméniens, Arsène Tchakarian, dernier survivant du groupe Manouchian, Monseigneur Norvan Zakarian, Primat du Diocèse arménien de France et Roger Fajnzylberg, directeur général de l’OSE ne faisaient qu’un autour du Grand rabbin Haïm Korsia, aumônier général israélite des armées. Le Souvenir Français, Charles Aznavour et divers élus avaient même délégué un représentant pour assurer les organisateurs de leur soutien.

« L’affiche rouge est le même symbole que l’étoile jaune, une mise à l’écart de la société. Mais quand je vois à Auschwitz les jeunes, drapés dans le drapeau israélien marqué de l’étoile de David, je pense à l’étoile jaune , signe de flétritude devenu signe de fierté ». Et de poursuivre : « […] La Résistance juive est l’emblème du peuple juif à la nuque raide, signifiant qu’il ne plie la nuque que devant son Créateur » dit le Grand rabbin Haïm Korsia en ouverture de la cérémonie.

Antoine Bagdikian rendit un hommage vibrant à Henri Morgenthau Senior, ambassadeur juif américain à Constantinople qui, lors du premier conflit mondial, alla jusqu’à racheter la vie des Arméniens menacés. « … Et si l’Affiche était rouge, c’était de nos sangs mêlés. Avant l’heure, elle a signifié l’Europe, celle de toutes les nationalités et de toutes les religions qui ont fait le sacrifice suprême pour la France », rappela-t-il devant un auditoire parfois debout face à l’affluence.

(Crédit Photo : Alain Azria)

21 février 2011

Le Rabbin Jules Ruff, aumônier en 1914

● Le Temps, n° 20.521, Mercredi 12 septembre 1917, p. 3, en rubrique « Nécrologie » :
« ― On nous annonce la mort glorieuse du rabbin de Verdun, M. Jules Ruff, tombé au champ d’honneur pendant le bombardement de Vadelaincourt. Atteint par un obus ennemi, il eut les deux jambes emportées et succomba bientôt à ses blessures. Homme des plus distingués, hautement estimé de tous ceux qui le connaissaient, il s’engagea comme aumônier dès le début des hostilités, en dépit de son âge : il avait en effet cinquante-cinq ans. M. Jules Ruff est le quatrième rabbin français tué à l’ennemi. »

● Résumé de la fiche établie au nom de cet aumônier militaire sur le site S.G.A. « Mémoire des hommes » :
― RUFF Jules, né le 30 octobre 1862 à Fegersheim (Haut-Rhin), « Aumônier militaire titulaire israélite de la Région fortifiée de Verdun, détaché [au] centre hospitalier de Vadelaincourt (Meuse) », mort le 5 septembre 1917 à l’Hôpital n° 12 de Vadelaincourt (Meuse) des suites de blessures de guerre (Acte transcrit à Paris, XIXe Arr., le 4 avr. 1918).
Extrait de : www. pages 14-18.net
photo : médecins et infirmiers en 14-18

17 février 2011

En souvenir du groupe Manouchian


Pour la première fois, à l'initiative
de l'association nationale des Anciens Combattants et Résistants Arméniens de France,
de l'Aumônerie Israélite des Armées
et de l'OSE
aura lieu une cérémonie entre Juifs et Arméniens pour commémorer l'exécution du groupe Manouchian.Cette cérémonie organisée autour du thème de la mémoire partagée, se tiendra
le 21 février 2011 à 18h30
en la synagogue des Forces Armées ( Rue Chasseloup-Laubat, 75015 Paris).
... Le 21 février 1944, la Gestapo fusillait au Mont-Valérien ce groupe de résistants étrangers, organisé autour de Missak Manouchian et Joseph Epstein.
Confirmation au : 01 41 93 39 08 ou aumonerie.israélite@wanadoo.fr

16 février 2011

Une étape géographique et symbolique

Dans le cadre des projets pédagogiques originaux initiés par L’Aumônerie israélite des Armées, une classe du Lycée Militaire d’Aix en Provence a passé la journée du 9 février 2011 au camp d’extermination d’Auschwitz. Cette étape géographique et symbolique ponctuait une année de réflexion construite autour de la Shoah.

L’année préparatoire au voyage fut ainsi ponctuée d’expériences marquantes et diverses : la visite du Mémorial de la Shoah à Paris, le recueil de témoignages des survivants, ou encore l’étude des textes de Primo Lévi et la vision de documentaires ont créé des conditions propices à une meilleure compréhension de cette tragédie.

Rappelons qu’annuellement, l’Aumônerie Israélite des Armées redouble d’efforts pour organiser des voyages du souvenir dans les camps d’exterminations afin d’y amener des cadres militaires ou des élèves des grandes écoles telles Polytechnique.

Aumônier Samuel Choucroun (RTSE)

Jacob ATLAN au 1er RI

Depuis le 1er janvier 2011, le 1er Régiment d’Infanterie de Sarrebourg compte dans ses rangs un nouvel aumônier militaire israélite, Jacob ATLAN.

Malgré l’activité intensive du régiment qui est le tout premier à recevoir le nouveau système d’arme FELIN (Fantassin à Equipement et Liaison INtégrés) son chef de Corps, le Colonel Eric BELLENGER, a pris de son temps pour rencontrer le nouvel aumônier accompagné de l’aumônier régional Gérald ROSENFELD.

Apres cette rencontre protocolaire emplie de convivialité avec le Colonel, les présidents des officiers, des sous-officiers et des EVAT, sont venus saluer les aumôniers et ont pu échanger sur les meilleurs moyens d’aider les soldats au quotidien.

Les aumôniers catholique et protestant étaient aussi présents, montrant un bel exemple de tolérance et de complémentarité.

Et comme l’a si bien dit l’aumônier régional « tant de choses en peu de temps est bien le signe que le départ est lancé »
Jacob Atlan

14 février 2011

Dans les coulisses de la "routine"

Lundi 7 février 11.
Dans le cadre de ses missions, l'Aumônier Arié Tolédano (RTSE) rencontre son aumônier régional, Yehouda Berdugo en déplacement à Grenoble.
Il ira ensuite dans un hôpital de la ville, rendre visite à un officier de sa garnison, hospitalisé.
Rien d'original mais toujours aussi important.
PYB
(crédit photo : PYB)

10 février 2011

L'aumônier Justin SCHUHL

Le rabbin Justin Schuhl est né en pleine guerre de 1870, à Westhouse, dans le Bas-Rhin. Il suivit la même vocation que son frère Moïse, grand rabbin d'Epinal. En sortant du séminaire, il fit son service dans les zouaves, en Algérie, et […] et fut nommé rabbin de Nîmes, puis aumônier militaire.
Pendant la guerre de 1914-1918, il se signala par son courage. Après 1918, il fut plusieurs années en résidence à Mayence, en Allemagne occupée, avant de regagner Strasbourg, au moment de l'évacuation de la Rhénanie.
En 1940, après avoir préparé le repli des objets du culte vers la Dordogne, il se réfugia dans la banlieue de Toulouse, puis revint à Strasbourg où il resta en fonctions jusqu'à un âge très avancé. Officier de la Légion d'honneur, il assista encore, au milieu de la vénération générale, à l'inauguration de la Synagogue de la Paix à Strasbourg.

Sa bibliothèque avait été prise par les Allemands, mais il obtint des services de la Récupération la restitution d'un certain nombre d'ouvrages fondamentaux : "Un rabbin qui n'étudie pas le Talmud n'est pas un rabbin", me disait-il. Il est décédé le 12 août 1965 à Strasbourg.


Pierre-Maxime Schuhl Professeur à la Sorbonne
Extrait de l'Almanach du KKL Strasbourg, 1967 (voir aussi http://www.aumonerie-israelite-des-armees.fr )

8 février 2011

Paroles d'Alliance

Haïm Korsia :
Bon, il faut être honnête : la prière pour la République, j’en suis très fier. C’est quelque chose d’assez émouvant d’entendre le samedi dans les synagogues, devant les rouleaux de la Torah ouverts, une prière pour la République, ...
Cette prière a deux vocations. La première est d’exprimer le bonheur à vivre dans un pays qui est le nôtre, qui le premier nous a reconnu des droits et qui nous considère pour ce que nous sommes, c’est-à-dire des citoyens égaux aux autres. La seconde a trait au sens de la prière, qui a valeur d’action pour un homme de piété, quelle que soit sa religion. On pourrait appeler cela « la fonction performative » de la prière, car prier, c’est agir. Prier pour la République, pour la France, cela signifie d’une certaine manière que l’on s’engage à construire la France. Et l’une des données fondamentales de la France, c’est la laïcité. […] La laïcité, c’est le respect des rites de chacun dans les lois de la République. Et c’est aussi le respect de quelque chose d’essentiel qui s’appelle le « vivre ensemble ».

Extrait de "Paroles d'Alliance :Dialogue entre un pasteur et un rabbin sur la société française" par le Pasteur François Clavairoly et le Grand Rabbin Haïm Korsia.
Collection religion, François Bourin éditeur – décembre 2010, 233 pages. Prix public : 20€.

25 janvier 2011

Leçon au S.I.F.


Le 25 janvier 11, le Grand Rabbin Pierre-Yves Bauer, Aumônier Adjoint Terre, a donné un cours au Séminaire Israélite de France sur le thème « le Cha’atnez : les commandements liés aux fibres textiles dans le Lévitique et le Deutéronome ».
L’ensemble des promotions de l’école ainsi que le Directeur, le Grand Rabbin Michel Gugenheim, étaient présents.
"En étudiant ce sujet, on se rend bien compte comment les textes traditionnels côtoient les lois civiles modernes et les dernières innovations dans le monde du textile. "

(photo : le Directeur du S.I.F. et une partie des élèves présents lors du cours)

20 janvier 2011

Simon Boukhan, mort pour la France



Au cimetière militaire de Toulon, repose le Soldat Simon Doukhan du 1er Régiment de Zouaves.


Né en 1896, il meurt au champ d’honneur en 1916, il n'a alors que 20 ans.

L'Aumônerie Israélite lui a recemment rendu hommage en priant sur sa tombe en présence du Rabbin de la ville, le Rabbin Bitton.

10 janvier 2011

une ancienne tradition militaire

La tradition dit que l'aumônier militaire porte le grade de la personne à qui il s'adresse...

hormis à D.ieu ...
(crédit photo : extrait du Web "soldat de plomb")

Visite au Mémorial de la Shoah

Ce mardi 4 janvier, la classe de première L du lycée militaire d'Aix en Provence s’est rendue à Paris afin de visiter le Mémorial de la shoah, et ce dans le cadre d’un programme éducatif autour du thème de la transmission du souvenir de la Shoa.

En effet, cette classe du lycée militaire s’est présentée à un concours organisé par le Ministère de l’Education, le Conseil Régional et le Mémorial de la Shoah et a été sélectionné pour voyager à Auschwitz au mois de février prochain.

L’aumônier de la garnison de Marseille Choucroun Philippe n’a pas manqué de prendre une part très active dans l’élaboration du projet pédagogique présenté au jury, et ce notamment en développant une collaboration avec le Camp d'internement des Milles.

Cette visite à Paris fût marquée par le témoignage bouleversant de Mme Ida Grynspan rescapée d’Auschwitz. Pendant plus de 2 heures, Mme Grynspan raconte avec minutie, parfois avec ironie et humour, les années de son adolescence volées par les nazis ! Raflée à l’âge de 14 ans, elle passera plus de deux ans dans l’enfer des camps.

Nous rappelons que notre aumônerie redouble d’effort chaque année afin d’organiser, d’élaborer des programmes autour de la transmission du souvenir de la shoah.

Aumônier Choucroun Philippe

3 janvier 2011

A dix heures ou à midi ?

La vie juive est jalonnée de coutumes, d'interdictions, de rituels institués par les Sages. Une partie importante de ces institutions consiste en des décrets (en hébreu « Guézérot ») visant à étendre les interdictions de la Torah à des cas où elles ne s'appliquaient pas. En effet, de nombreux commandements de la Torah ont été enrichis par les institutions des Sages, au point que très souvent, à l'étude des lois pratiques de vie juive, nous pouvons apprécier la partie directement imposée par la Torah (midéoraïta) et celle rajoutée par les Sages (midérabanane).
Prenons un exemple :
L'interdiction du hamets à Pessah : la consommation du hamets à Pessah ne prend effet d'après la Torah que le jour du quatorze nissane à midi. Les Sages ont cependant interdit le hamets depuis le matin deux heures avant midi.

...
On remarquera que les Sages ont exploré tous les aspects de la vie d'un juif et pris les mesures qui s'imposaient, en veillant à chaque fois que leurs décrets soient aussi nécessaires que réalisables dans la pratique.


Extrait de l'introduction de "Les décrets rabbiniques ou Guezerot derabanane", au S.I.F. Paris, par l'Aumônier Arié Tolédano / photo : Cristophe Gevrey

1 janvier 2011

Bonjour de Nouméa

En déplacement en Métropole, Monsieur Jacky Sellam a fait une visite surprise au Grand rabbin Pierre-Yves Bauer, Aumônier Général de l’Armée de Terre.
Monsieur Sellam symbolise parfaitement un des volets de l’action de l’Aumônerie Israélite "le lien Armée-Nation" car il est à la fois ancien adjudant-chef et actuel président de la communauté juive de Nouvelle Calédonie.
A plusieurs reprises, il a accueillit très chaleureusement des aumôniers à Nouméa.
L’aumônerie lui souhaite une bonne santé et une bonne continuation. A bientôt ...